Etude KYOTO HEART: Celle-ci porte sur les effets du Valsartan sur la morbidité et la mortalité chez les patients présentant des risques cardiovasculaires élevés et dont l’hypertension n’est pas contrôlée..
Takahisa Sawada1*, Hiroyuki Yamada1, Björn Dahlöf2, and Hiroaki Matsubara1 for the KYOTO HEART Study Group
European Heart Journal (2009) 30, 2461–2469; doi:10.1093/eurheartj/ehp363. Lisez plus.
1Department of Cardiovascular Medicine. Kyoto Prefectural University School of Medicine, Kajiicho 465, Kamigyoku, Kyoto 602-8566, Japan; and 2Department of Medicine, Sahlgrenska University Hospital/Östra, Göteborg, Sweden
Received 4 August 2009; accepted 13 August 2009
Conclusions:
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L’addition de Valsartan diminue de manière significative le nombre d’endpoints CV primaires (-45%). |
Plus d’informations sur les endpoints: |
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L’addition de Valsartan diminue significativement le nombre d’ accidents vasculaires cérébraux (-45%), d’angines de poitrine (-49%) et de nouveaux diabète (-33%) par rapport à un traitement sans ARB. |
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L’Etude Kyoto Heart Study confirme que le Valsartan réussit à donner aux patients à haut risque un effet protecteur complet. |
Arrière-plan:
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De nombreux rapports montrent que les ACEi et les ARB sont supérieurs pour la prévention d’accidents cardiovasculaires (CV) mais sont insuffisants en matière de données pour les patients à haut risque. |
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Trois tests M&M seulement ont été effectués au Japon (deux avec du Candesartan, qui n’ont pas montré de diminution de M&M et un avec du Valsartan qui a montré une réduction significative de M&M). |
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On ne peut toutefois pas savoir avec certitude si cette diminution est due à une différence entre les molécules ARB ou à des différences dans la conception de l’étude. Kyoto Heart prévoit maintenant d’utiliser davantage de données pour faire des recherches sur l’utilisation du Valsartan en comparaison avec des traitements conventionnels. |
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Kyoto Heart a été conçu par les chercheurs dans le but de fournir des preuves matérielles pouvant confirmer l’étude Jikey Heart (publiée en 2007 dans The Lancet) et qui a démontré une baisse de 39% du risque relatif du développement d’un accident cardiovasculaire primaire chez un nombre aléatoire de patients soignés au Valsartan en comparaison avec une thérapie conventionnelle. |
EXF-12-09/09-5749