Le Conseil de l'ordre des médecins s'est retrouvé sur la sellette mardi à Paris, à la première journée du procès d'un gynécologue, l'un des plus grands spécialistes de la fécondation in vitro, poursuivi pour viols et agressions sexuelles sur sept patientes.
A la barre, André Hazout, âgé de 70 ans, interrogé sur sa vision du dossier, rappelle d'une voix douce avoir reconnu "des gestes inadéquats" et des rapports sexuels "consentis" avec certaines de ses patientes.